LA QUIDAME et L'INFORMATION

 "Au coeur de la diplomatie américaine

- "Le Monde" et quatre journaux étrangers commencent la publication d'informations révélées par 250 000 télégrammes du département d'Etat et de ses ambassades, mis à leur disposition par le site WikiLeaks

- Washington condamne vigoureusement cette initiative ; nombreuses réactions dans le monde"

Le Monde, page de couverture, daté du mardi 30 novembre 2010, n° 20482.

 

"Les instructions des préfets

Pas d'abri pour les sans-papiers

Selon les documents obtenus par "Libération", des préfectures exigent que les clandestins soient refusés par les centres d'hébergement d'urgence."

Libération, page de couverture, lundi 29 novembre 2010, n° 9190.

 

"EXCLUSIF
LE MYSTÈRE DES 271 PICASSO

UN ÉLECTRICIEN RETRAITÉ A RÉVÉLÉ POSSÉDER DES CENTAINES D'OEUVRES.
LES HÉRITIERS PORTENT PLAINTE."

Libération, page de couverture, lundi 29 novembre 2010, n° 9190.

 

À la télévision, on nous indique que Ségolène Royal est candidate à la candidature.

C'est aujourd'hui, l'ouverture des Restaurants du coeur.

ÉLÉGANCE

Une amie nous adresse un article de Guillaume Goubert, publié le 24-11-2010 sur le site du journal La Croix.

Article en faveur de l'exposition "Andrée Putman, ambassadrice du style", à l'hôtel de ville de Paris.

Si vous voulez le lire : www.la-croix.com

Concentrons-nous sur la conclusion :

"Le seul regret que peut inspirer le travail d'Andrée Putman, désormais relayée par sa fille Olivia, est qu'il ait été presque exclusivement destiné à un public de privilégiés. Mais, au bénéfice de tous, elle a porté très haut une vérité précieuse : l'élégance est ce qui ne se remarque pas."

Pour le public "pas privilégié du tout", signalons que l'exposition qui se tient jusqu'au 11 février 2011, est gratuite. Espérons qu'il saura apprécier "ce qui ne se remarque pas" à sa juste valeur !

RadicÔlibres.

 

 

VIEILLES PEAUX

On emprunte ce qui suit à Libération dont on lit avec amusement et intérêt le cahier d'été consacré aux "excentriques".

"Une impression singulière, plus encore que pénible, est celle qui consiste à s'apercevoir tout d'un coup, brusquement, sans crier gare, sans presque l'avoir vu venir, que sa vie est finie. On est là, plus ou moins physiquement délabré, ou encore résistant, ses facultés, en apparence intactes, mais inadaptées au goût du jour, on se sent désaffecté, étranger à la civilisation contemporaine que l'on a quelquefois devancée, mais dont les manifestations actuelles blessent et choquent moins qu'elles ne paraissent vaines."

Comte Robert de Montesquiou-Fézensac, Mémoires.

Libération, n° 9078, mercredi 21 juillet 2010, pp. I, II, III.

 

RadicÔlibres.