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02/01/2014

"MANDELA : L'ÉMOTION PLANÉTAIRE"

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Titres extraits du Monde
et de Libération,
1er au 31 décembre 2013.

© Mise en page RadicÔlibres.

28/12/2013

"Mais il y a une différence entre comprendre et être au courant."

Je n'ai jamais lâché mon quotidien papier. Je pense parfois que c'est une question d'âge et d'habitude mais je sais aussi que l'aspect souvent racoleur de l'information sur Internet me dégoûte. Cela crée une sorte d'impatience jamais repue, quelque chose doit se passer qui sera effacé par autre chose. Cela ressemble à cette presse dont la page de couverture est toute composée de photographies et de titres où la mouche tombera, victime de son appétit.

Ce n'est certes pas une généralité mais les sites que je consulte avec le sentiment d'être informée (mais accablée) ne me donnent cependant pas tout ce que me procure mon quotidien. Alors quoi ? Eh bien, tout est très clairement expliqué dans un article de Robert Maggiori, journaliste à Libération, "Le quotidien papier, une singularité, un avenir", dont je vous fais une courte citation et dont vous trouverez l'intégralité sur… Internet.

Roberte Roberte.

"Il est banal de dire qu'aujourd'hui chacun est surinformé, matraqué de news en continu, et capable de trouver en un minimum de temps un maximum d'informations sur à peu près tout - jusqu'à atteindre une sorte de saturation des facultés d'intellection. Mais il y a une différence entre comprendre et être au courant."

Libération, REBONDS, 13/12/2013, p. 20.

 

 

http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2013/12/12/le-quotidie...

 

11:17 Publié dans Actualité, Blog, Internet, Presse | Lien permanent

18/12/2013

UN "TOIT"

"LE PROPRIÉTAIRE QUI LOUAIT UN LOCAL DE 1,56 M2 JUGÉ

Le tribunal d'instance du 11e doit rendre aujourd'hui sa décision dans l'affaire concernant un homme qui a vécu pendant quinze ans dans un logement de 4 mètres carrés mansardé dont seulement 1,56 mètre carré habitable. Il payait un loyer d'environ 300 euros pour ce local doté uniquement d'un lavabo. Le locataire réclame
25 000 euros de dédommagement à son ex-bailleur."

Direct Matin,
N° 1406, mardi 17 décembre 2013. 

 

Espérons que la décision du tribunal d'instance sera réellement dissuasive à l'égard de ceux qui envisagent de louer leur cabine de douche ou leur parapluie.

10:08 Publié dans Actualité, Blog, Presse | Lien permanent