26/06/2010
VIVA INTERNET !
Samedi dernier :
Moi (la vieille) : "J'aime beaucoup Didier Porte, il a un lien avec Desproges (nostalgie)... Mais ça, ça sert à quoi et puis, quels mots employer après ? La déliquescence de l'humour touche pas mal de gens, appréciés un certain temps puis dépréciés par eux-mêmes, il suffit de tenter de regarder ou d'écouter certaines émissions pour s'en rendre compte.
Lui (le jeune) : "Au quotidien, Guillon et Porte expriment ce que plus personne n'exprime et surtout pas les intellectuels : il n'y a plus de débats."
Moi (la vieille) : "C'est sans doute une question de génération mais pour moi, la grossièreté s'apparente à la violence. Il y a un homme, à Paris, qui entre le midi dans un square paisible et en chasse les gens. Pour les femmes, c'est "Tire-toi, salope !", pour les hommes, c'est "Tire-toi pédé !". Eh bien, je mets un temps fou à me remettre de cette sorte d'"agression", même si l'agresseur n'est qu'un ivrogne."
Eux (les jeunes) : "... ... ???"
(C'est en effet une question de génération !).
Ceci dit, on se souvient qu'autrefois "Arrêt sur Images", l'émission qui décortiquait la télé avec enthousiasme et finesse, fut virée sans que les spectateurs soient consultés. Elle a trouvé refuge sur la Toile et nous l'avons suivie. Didier Porte y sera chaque jeudi à 7 h 53 à partir de la semaine prochaine :
Anna Livia.
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24/06/2010
VALSE

au Théâtre Libertaire de Paris,
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23/06/2010
L'honneur de la France
"L'honneur de la France"...
Un peu tard, peut-être, pour comprendre
que tout ce fric ne fait pas sortir
des gamins du ghetto.
"L'honneur de la France"...
On espionne chez la vieille dame richissime,
dans les vestiaires des foutesbôlleurs
et bientôt, dans mon cerveau ?
Roberte Roberte.
P.-S. : "Le tribunal de grande instance de Paris, siégeant à la demande de Mme Bettencourt, statua en ces termes : les informations transmises par les écoutes sortent de la sphère privée, elles participent de l'intérêt général, les retirer de la circulation "reviendrait à une censure contraire à l'intérêt public ".
Marianne, n° 673, du 31 juillet au 6 août 2010,
"Ah ! Si les domestiques n'écoutaient pas aux portes...", p. 15.
Il faut bien le reconnaître, et de toute façon, n'avoir aucune crainte pour mon cerveau qui ne produit pas de tunes.
Roberte Roberte.
23:10 Publié dans Blog | Lien permanent