17/10/2016
LES ILLUSIONS PERDUES
Certains dorment sous des tentes. D'autres non. Des matelas et des couvertures jonchent le sol. Au-dessus passe le métro. Autour, tôt le matin, les voitures qui vont quelque part, forment des embouteillages bruyants et puants. Les poubelles débordent. Les pigeons contents, squattent. On est à Paris, en octobre 2016.
© Roberte Roberte.
09:58 Publié dans Blog, Où se pose le regard | Lien permanent
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