Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/03/2012

CHÔMAGE et FORMATION PROFESSIONNELLE

Je lis dans Le Canard enchaîné, n° 4767 du 7 mars 2012, p. 3, "La Mare aux Canards", un article de Alain Guédé dont le titre est : "Grâce à la formation continue les escrocs apprennent vite".
Titre suffisamment éloquent pour que vous compreniez de quoi il s'agit. Je cite le dernier paragraphe car il me semble qu'on ne peut parler de formation professionnelle sans évoquer cette situation qui encourage les parasites au détriment des chômeurs ou des actifs qui souhaitent améliorer leur savoir-faire :

"Ouvrir un centre de formation ? Il suffit d'une simple déclaration à la préfecture. Pas besoin de diplôme ni de projet pédagogique. Et seuls les magistrats de la Cour des comptes ou des tribunaux peuvent plonger dans les papiers de quelques dizaines de milliers d'organismes qui ont vissé le mot "formation" sur leur porte. Mais, ça, c'est quand l'affaire tourne mal.
Et, en attendant, les faux formateurs pètent la forme."

Au moment où l'un des candidats à la Présidence de la République veut initier un référendum sur les chômeurs, leur formation et leur "placement obligatoire" (bonjour la stigmatisation !), on peut se poser la question de "Qui forme qui, à quel prix et avec quelle efficacité ?". Subidiairement : "Qui contrôle les formateurs ?". Questions déjà posées dans ce blog le 22 février 2009 ("Femmes d'appoint") lorsque l'actuel Président avait le projet de réduire le congé parental et de proposer aux mères, des formations professionnelles (rien de cela ne semble s'être réalisé).

Anna Livia.

02/03/2012

CAMPAGNE PRÉSIDENTIELLE

P1020997_2.JPG

© RadicÔlibres, 1er mars 2012.

22/02/2012

LIBRE EXPRESSION

P1020952_2.JPG

© photo Anna Livia, Lyon 1er, 9 février 2012.