18/07/2011
TOUT DOIT DISPARAÎTRE
Après les commerçants, les habitants sont partis.
C'est un lieu moche à inspiration réduite !
On le retient, le temps d'une photographie
car il cessera, bientôt, de regarder passer le métro.
© photo Anna Livia, Paris 10e, 22 juin 2011.
09:38 Publié dans Blog, Où se pose le regard | Lien permanent
17/07/2011
"COMMENT AVEZ-VOUS PU LAISSER VOS VIES SE RÉTRÉCIR ?"
À cette interpellation au pavé, tentons pour réponse une première hypothèse :
Confiné(e) dans un MOI tellement étroit qu'on n'y peut plus débattre ou se débattre.
Seconde hypothèse (assez classique) :
Le héros ou l'héroïne du Tome II qui est certain(e) d'avoir trouvé sa voie (quitte, le plus souvent, à ne plus rien voir d'autre) a carrément rompu avec le héros ou l'héroïne du Tome I.
Cette seconde hypothèse annonce la première.
Est-il nécessaire de conclure ?
Au dernier Tome (V ou VI ?) le héros ou l'héroïne se retrouve (fréquemment à son insu) en empathie avec ce qu'il ou elle fut dans le Tome I.
Mais c'est trop tard.
Pour plus de sérieux, on peut se reporter utilement aux "Illusions perdues" de Balzac. Si l'on n'aime pas la lecture, le titre suffit.
RadicÔlibres.
11:10 Publié dans Blog, Philosophie | Lien permanent
14/07/2011
ERRATUM
Je voulais remercier Elisabeth pour son commentaire mais, du fait de mes connaissances techniques limitées, ma gratitude a atterri dans... le blog de RadicÔlibres : ce qui pourrait ressembler au comble du narcissisme ! Ne voulant pas répéter une fausse manoeuvre, je le dis ici :
MERCI, Elisabeth !
Anna Livia.
17:22 Publié dans Blog | Lien permanent