28/08/2012
BEAUVOIR - CAMUS - SARTRE (par ordre alphabétique)
© photo Anna Livia, Paris 10e, 6 octobre 2011.
(La semaine dernière, nous avons communiqué par e-mail cette photographie à Michel Onfray, actuellement Camusien-en-chef, parce que "ROMANCIER" nous semble un peu court.)
Ces derniers temps, les universitaires (la "classe" universitaire ?) critiqués avec véhémence par M. Onfray, réagissent.*
Simples auditrices de "Contre-histoire de la philosophie", 19 heures sur France-Culture cet été, nous pensions que M. Onfray pouvait être un "passeur" ne serait-ce qu'en rendant intelligible un langage philosophique qui nous échappe. Nous avons noté l'expression limpide mais redondante et quasiment obsessionnelle, au point que parfois on avait l'impression d'écouter l'émission de la veille.
D'autre part, nous sommes convaincues que Camus n'aurait pas apprécié cette charge contre Beauvoir et Sartre. Pour nous, qui avions vingt ans (et des poussières...) dans les années 1970, il est possible de faire le voyage de Tipasa et de se rappeler les débuts effervescents du journal Libération comme les premiers pas de la revue Nouvelles Questions féministes quand Sartre et Beauvoir n'avaient nullement besoin de plus de "notoriété" !
Cette période-là est unique : et personne, personne, n'en peut altérer le souvenir.
© RadicÔlibres.
*Les Temps Modernes, n° 668, avril-juin 2012, Chroniques : Juliette Simont, Le siècle d'Onfray. À propos de "L'Ordre Libertaire. La vie philosophique d'Albert Camus"* ; Jeanyves Guérin, Michel Onfray et Camus : le pavé de l'ours ; Jean Bourgault, Onfray et la lecture sous contrainte.
Libération, n° 9733, lundi 27 août 2012, p. 25, REBONDS, "Michel Onfray a-t-il toujours sa place sur France Culture ?" par Michel Vignard.
*Michel Onfray, L'Ordre Libertaire. La vie philosophique d'Albert Camus, éd. Flammarion, 2012.
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20/08/2012
COULEURS
En solidarité avec les Pussy Riot.
© RadicÔlibres, 19 août 2012.
09:50 Publié dans Actualité, Blog, Politique, RadicÔlibres productions | Lien permanent
05/08/2012
LA RUE et parfois la poésie...
Il pleuvait un peu, la jeune femme portait un joli imperméable jaune à capuche, bien ajusté. Lorsqu'elle passa devant le chantier qui jouxtait son bureau, elle entendit les habituels sifflements des oiseaux moqueurs et puis ceci, prononcé d'une voix forte et gouailleuse :
"Ah, moi, je l'croquerais bien ce p'tit citron !"
© Les souvenirs de Roberte Roberte.
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