LA VÉRITÉ !

Anne Sylvestre, "Mon mystère", 1978.
"40 ans de chansons",
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De Direct Matin, n° 834, lundi 28 février 2011, p. 12.
Le Monde pour Direct Matin

"Miroir. La publicité n'offre pas toujours le reflet fidèle d'une société. La preuve avec les seniors, cible aisée et de plus en plus large, mais rarement mis en scène sur les affiches ou à l'écran. (...)

Cachez ce senior
que je ne saurais voir !

(...) Mais les équipes de marketing ne "veulent pas travailler sur la cibles des seniors" constataient récemment les participants au colloque (sur les seniors) organisé au ministère de l'Économie : "C'est dû au fait qu'elles sont âgées de 30 à 35 ans seulement", assuraient-ils. C'est donc seulement depuis une quinzaine d'années que les marques de cosmétiques s'intéressent aux femmes matures alors que la ménopause entraîne une modification de la peau. Il a fallu ainsi attendre 1994 pour que Nivea, la première leur consacre une gamme spécifique, et qu'elle fasse poser un mannequin quinquagénaire aux cheveux blancs. Il faut des people magnifiques comme Sharon Stone ou Jane Fonda pour que Dior ou L'Oréal osent montrer des femmes quinqua ou septuagénaires."

Extrait de l'article de Rafaële Rivais.

On ne peut pas recopier tout l'article qui explique qu'en publicité les vieux ne sont pas représentés par des vieux parce que personne ne se voit ou ne veut se voir vieux.
L'argument n'est sans doute pas inexact mais facile ! En tant que vieilles peaux, nous aimerions qu'on nous démontre scientifiquement et sur des modèles de nos âges, les réels progrès qu'accomplissent sur nos rides et vergétures ces produits dont le prix le plus souvent exhorbitant contribue surtout à rendre flasque le porte-monnaie.

Renoncer collectivement à acheter ces produits destinés aux pommes cuites tant qu'ils ne seront pas présentés par leurs "cibles", voilà ce que nous préconisons . Vieilles, certes mais pas naïves, quand même. Et puis, ça donnera du travail aux "seniors" du spectacle.

RadicÔlibres.

Au "Monde" (le journal), hier, un débat sur Simone de Beauvoir

Je dirai juste :

un nom "porteur"

(je n'ai pas dit "patronyme")

et aussi bien

Simone de Beauvivre.

 

Roberte Roberte.

LE RÉVERBÈRE MALIN

Et déjà, dans un souci d'économie,
il nous éclairait par la racine et par l'esprit.

© photo Anna Livia, Buttes-Chaumont, Paris, 27 février 2011.